Vision

L’ère de l’information se termine, bienvenue dans l’ère de la connaissance.

Une transition s'opère sous nos yeux

L’être humain se trouve actuellement en train de vivre une étape de transition en ce qui concerne l’accès à la connaissance. Il y a encore quelques années, durant l’ère de l’information différentes technologies ont émergé. Beaucoup d’entres elles avaient pour but de produire de l’information. Cette étape à créé une profusion d’informations souvent qualifiées de « BIG DATA » offrant ainsi à l’utilisateur l’opportunité de disposer d’une connaissance plus complète de ses sujets du fait de l’accès potentiel à une plus grande richesse et pluralité de points de vue ou de facettes. L’enjeu était donc « l’accès à l’information » qui permettait de constituer « au fil de l’eau » une connaissance sur un sujet. L’utilisateur a pris l’habitude de consommer ces contenus avec les outils mis à sa disposition. Bien souvent des outils de type « Search » qui l’obligent encore à consommer les contenus un par un en accédant ainsi à de la connaissance parcellaire (un document une parcelle de connaissance). Il utilise ensuite son système cognitif pour intégrer de manière cohérente l’ensemble de ces parcelles de connaissance afin d’obtenir la vision la plus exhaustive possible de son sujet.

Ce mode d’acquisition met en évidence plusieurs limites : d’une part la capacité de collecte des outils de «  Search », d’autre part, la capacité de lecture de l’être humain, ainsi que sa capacité cognitive elle aussi limitée du fait du volume important d’information à brasser.

Cette démarche repose sur le fait que l’on accède d’abord au détail (chaque contenu élémentaire est assemblé un par un aux autres pour commencer à constituer un « bout » de connaissance) afin de reconstituer au fur et à mesure une vision la plus réunifiée et globale possible.

Vouloir utiliser cette plus grande disponibilité de contenus avec les outils classiques (de type Search) revient désormais à investir un temps important allant de plusieurs jours à plusieurs mois. Un investissement que personne ne peut plus se permettre.

A l’ère de la connaissance nous ne manipulons plus des informations unitaires concernant chacune de la connaissance parcellaire qui reste encore à consolider, mais de la connaissance globale déjà consolidée intégrant déjà une grande variété de facettes et de points de vue présents dans les contenus initiaux. Cette approche commence déjà et va continuer de révolutionner l’accès à la connaissance dans tous les domaines.

Changement de paradigme : dorénavant, il ne s’agit plus d’utiliser une démarche qui procède du détail au général mais bien d’inverser le paradigme en disposant d’une vision la plus globale possible dans un premier temps et de permettre ensuite à l’utilisateur d’affiner sa démarche en accédant à chaque contenu de manière précise et détaillée. Une approche cognitive d’ailleurs relativement naturelle chez l’être humain.

Pourquoi continuer d’investir un temps considérable pour accéder à des fragments de connaissance quand on peut accéder quasi instantanément à une connaissance déjà consolidée et plus complète ?

Bienvenue dans l’ère de la connaissance !

La donnée vient à vous

Durant l’ère de l’information c’était toujours à l’utilisateur d’aller vers la donnée. En situation de « Big Data » on ne peut plus lui demander d’aller vers la donnée. Il y en a beaucoup trop. Dorénavant, « c’est à la donnée d’aller vers l’utilisateur ». Inverser le rapport à l’information est l’un des apports immédiats de la plate-forme MyKnowledge.

Un gain de temps énorme

Procéder à la consolidation de l’ensemble de la connaissance disponible en utilisant son système cognitif nécessite d’y consacrer un temps considérable. Pour un résultat souvent incomplet. Désormais, en utilisant une plate-forme de « cognition artificielle », il accède à cette connaissance consolidée en quelques minutes.

Trouver sans chercher

Jusque là, il devait toujours savoir ce qu’il recherchait. Mais puisqu’il ne disposait pas encore de moyens pour connaître toute l’étendue du contenu à disposition, il cherchait par rapport à ce qu’il était supposé connaître (donc il éliminait dès les début des idées potentiellement pertinentes pour lui). Dans cette situation il ne risquait pas d’accéder à des éléments qu’il n’aurait même pas eu l’idée de chercher puisqu’il en ignorait l’existence. Ainsi, une des caractéristiques majeures de « l’accès à la connaissance » est de pouvoir permettre aux utilisateurs de pouvoir « trouver sans avoir eu besoin de chercher ».

Optimisation du potentiel cognitif humain

La capacité de lecture de l’être humain reste limitée en mode « document par document » par son système cognitif. Il peut lire 10, 20, 30 voir 100 documents par jour (pour les plus performants d’entre nous) mais certainement pas 1.000, 10.000 ou même des millions de documents. Cette surcharge entraine rapidement une fatigue et une inefficience du système cognitif. Grâce à l’utilisation de la « cognition artificielle » l’être humain peut désormais appréhender mentalement de gros volumes de contenus de manière très facile et conserver son « énergie cognitive » pour aller plus efficacement au bout de ses raisonnements.

La hiérarchisation des tendances

Avec l’ancienne manière de procéder, et sans la possibilité de disposer d’une vision d’ensemble, il est impossible pour l’utilisateur d’évaluer l’importance de chaque facette (ou avis) d’un sujet instantanément. Il ne peut connaître le poids relatif de chaque idée ou tendance exprimée sur son sujet. Maintenant, Il peut avoir une idée du poids ou de l’importance de chaque facette du sujet en quelques minutes.

La vision globale

Contraint d’accéder aux contenus en mode « document par document », jusque là l’utilisateur constitue donc sa connaissance au fil de l’eau (pièce de puzzle par pièce de puzzle). Avant d’avoir fait le tour et la consolidation mentale de tous les contenus (la vue d’ensemble assemblée du puzzle), il dispose donc d’une connaissance « parcellaire » sur ses sujets. Afin d’enrichir son point de vue il va « collecter » au fur et à mesure de nouvelles informations, les relier et les agréger entres elles pour connaître son sujet sous le plus d’angles possibles. Le recours à « l’indexation cognitive » d’une plate-forme de cognition artificielle va lui permettre de disposer instantanément d’une connaissance globale intégrant le maximum de facettes du sujet qui l’intéresse (la vue générale). En quelques sortes, le paradigme de l’accès à la connaissance est inversé : on passe d’une approche « bottom up » (assemblage des informations une par une pour constituer une vision globale) à une approche « top down » (on part d’une vison globale et on descend ensuite sur certains contenus clés pour affiner).

Avec ou sans Semdee à partir de maintenant, notre rapport à l’acquisition des connaissances change radicalement. Dorénavant, accéder à de l’information unitaire est un usage qui se termine, en faisant place à l’accès direct et immédiat à une connaissance déjà consolidée.

L’équipe Semdee se présente à vous avant de poursuivre la découverte